Carnet de Baltique

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Saint-Petersbourg
(Санкт-Петербург)

Saint-Petersburg a été fondé il y a seulement 300 ans pour devenir la capitale de l'empire russe lors de son âge d'or. Ce qui se ressent largement dans son architecture : des bâtiment imposants au classissisme impeccable.

La forteresse Pierre-et-Paul avait originellement été construite pour défendre les voix navigables d'accès la ville (oui, l'eau est froide).

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La Cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé

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La place St-Isaac, où se tient la statue en bronze dédiée à Nicholas Ier, qui réussit l'exploit de tenir en équilibre sur les deux jambes arrières du cheval.

De l'autre côté de la place, la Cathédrale St-Isaac.

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Nous avons profité de la soirée pour voir un opéra (Pagliacci, pour l'anecdote) dans le théâtre Mariinsky

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La Cathédrale Notre-Dame de Kazan et sa façade en demi-cercle de colonnes.

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Nous avons visité le musée de l'Hermitage, dont une partie occupe le Palais d'Hiver, qui avait été construit pour servir de résidence aux Romanov du temps où ils régnaient sur l'Empire russe.
Le Palais d'hiver est reconnaissable à la belle couleur de sa façade.

De l'autre côté de la Place du Palais, en face du Palais d'hiver, le grand bâtiment qui abritait l'État-Major de l'armée de l'empereur Alexandre Ier. Aujourd'hui, une partie de ces bâtiments fait partie du musée de l'Hermitage.

L'intérieur du musée contient une collection impressionnante d'œuvres européennes, ramenées par les dirigeants russes du temps de la grandeur de l'Empire. Mais les les salles des bâtiments valent autant le coup d'œil, si ce n'est plus !

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Les rues de St-Petersbourg. La pluspart des bâtiments sont magnifiques, mais ils sont plus ou moins bien résisté au temps depuis la période de splendeur de la ville.

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Le musée de l'Arctique et de l'Antarctique, que nous avions juste en face des fenêtres de l'hôtel où nous avons logé !

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Être touriste en Russie signifie se familiariser avec un nouvel alphabet et une nouvelle monnaie, largement de quoi légèrement déstabiliser au premier abord! Surtout que très peu d'habitants parlent anglais, ce qui complique de beaucoup les échanges même les plus simples (pour demander sa monnaie, par exemple). Ici, des billets de 100 roubles.